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Affichage des articles du mai, 2025

SURCHARGE MENTALE : LES SIGNES QUI NE TROMPENT PAS ! (PART 2)

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  Le stress au travail et la surcharge mentale proviennent non seulement d'un management et/ou d'une ambiance défaillants mais aussi d'un déséquilibre : un déséquilibre entre les efforts fournis et les récompenses reçues en retour (salaire, reconnaissance, etc...)        Nous avons vu dans l'article précédent les 3 formes principales que prend la surcharge mentale mais il convient aussi de savoir se situer dans son environnement professionnel pour pouvoir détecter les signes avant-coureurs :   On peut aussi se servir du tableau suivant comme baromètre de la santé psychologique :       Il va de soi que si la situation empire, que si l'on ne peut pas dire "stop" ni changer quoi que ce soit et que l'on se sente de plus en plus mal, il convient de se faire aider, de consulter un médecin et/ou un psychologue.     FIN.             par S. Dester...    et ZCI.            ...

SURCHARGE MENTALE : LES SIGNES QUI NE TROMPENT PAS !

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  Le management par le stress et le management pyramidal autoritaire sont dominants en France (voir statistiques et nos articles sur le sujet). Corollaire inévitable : les signes de surcharge mentale se multiplient et, avec eux, le nombre d'arrêts-maladie. Arrêts maladie dont il est question de plus les contrôler mais il faudrait surtout plus contrôler ce qui entraîne et déclenche tous ces arrêts-maladie (s'attaquer aux effets sans s'attaquer aux causes risque d'avoir peu de résultats tangibles a` long terme).         Concrètement, la surcharge mentale prend 3 formes caractéristiques :                    A noter que ces 3 formes de surcharge mentale peuvent certes engendrer des symptômes différents mais aussi des maladies identiques (dépression par exemple).      A suivre...           par S. Dester...  et ZCI.                

TOUT CHANGER POUR FAIRE PLUS ET MIEUX ! (PART 6)

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  Parmi les freins au changement, on peut noter ceux-ci : - se sous-estimer. - surestimer les autres.  - mésestimer ses propres capacités.    Si l'on pense que l'on manque d'atouts pour changer, si l'on pense que les autres ont des compétences que nous n'avons pas et si l'on pense que nos faiblesses nous empêchent de changer, on risque de rester immobile et de ne rien changer du tout.      Sauf que, si l'on approfondit un peu la question, on se rendra vite compte que les autres procèdent aussi par essais-erreurs, que notre personnalité recèle des potentialités uniques et que certaines de nos faiblesses peuvent s'avérer des forces (si bien utilisées).                 A suivre...                

TOUT CHANGER POUR FAIRE PLUS ET MIEUX ! (PART 5)

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  Les étapes du changement ressemblent parfois aux étapes d'un deuil :   On peut aussi envisager le changement avec les étapes du "modèle de Kotter" :       Enfin, on peut mettre en place une véritable stratégie du changement (ce qui est toujours souhaitable) :     En n'oubliant pas que tout changement nécessite des interrogations, interrogations dont les réponses seront des justifications du changement, des motivations au changement et des pistes de changement.          Répétons-le : on change parfois pour fuir une situation indésirable mais le changement ne doit pas être une fuite sans destination. Et l'on est d'autant plus motivé a` changer lorsqu'on se donne des objectifs clairs et précis.        A suivre...