DISQUALIFICATION PERSONNELLE ET DISQUALIFICATION SOCIALE : DES ADULTES AU COMPORTEMENT ENFANTIN !

Dans nos sociétés de communication, il faut faire montre de cohérence sous peine de disqualification sociale et personnelle. Cela ne sert a` rien de communiquer une certaine image ou certaines réalisations si on peut se faire prendre en défaut facilement. Et ceci est valable aussi bien pour des individus que pour des collectivités, aussi bien pour des associations que pour de grandes entreprises.
Se faire prendre en flagrant mensonge, en flagrant délit de copiage, en flagrante mythomanie, en flagrante incompétence n'est jamais agréable. Surtout quand plusieurs critères négatifs sont cumulés.
Le risque encouru est la disqualification : plus aucune crédibilité dans ce que l'on dit ou dans ce que l'on prétend faire.
Et la disqualification personnelle entraîne la disqualification sociale.

Mentir effrontément, mentir souvent voire tout le temps, mentir mal. Avec des grosses ficelles qui se voient ou avec des histoires qui ne tiennent pas debout. Comme un enfant.

 Ne jamais assumer ses responsabilités, se défausser sur les autres, sur les circonstances. Se trouver des excuses tout le temps. Comme un enfant.

 Copier sur les autres. Voler les idées des autres, les projets des autres.

 N'avoir jamais aucune idée personnelle. Utiliser les photocopieurs a` outrance ou aller copier ce que l'on a a` faire sur internet. Comme un enfant.

 Etaler son incompétence. Gaspiller de l'argent par incompétence. Gaspiller son temps et celui des autres. Comme un enfant qui ne sait pas quoi faire.

 Raconter n'importe quoi pour se rendre intéressant au risque de se rendre ridicule. Comme un enfant.

 Ces quelques exemples montrent (et démontrent) que :
1) il est inutile de dépenser des sommes folles en communication s'il n'y a aucune cohérence ni compétences a` offrir ensuite. 
2) la majorité des comportements qui entraînent la disqualification personnelle (puis la disqualification sociale éventuelle) sont des comportements enfantins. Et l'on frémit en songeant au nombre d'enfants a` qui l'on a confié d'importantes responsabilités !