COACHING, COMMUNICATION ET DEVELOPPEMENT PERSONNEL

Dans la vie, il faut savoir faire des choix. Et donc, prendre des décisions. Sauf que l'on ne sait jamais si la décision que l'on a prise est la bonne. On ne le saura que plus tard... Alors, il peut être tentant de procrastiner (repousser les décisions a` prendre), de ne pas prendre de décisions (et de s'en remettre au hasard) ou de laisser les autres prendre les décisions a` notre place.    Sauf que, si l'on ne prend pas de décisions, on n'obtiendra jamais ce que l'on souhaite. Alors qu'en prenant des décisions, même parfois mauvaises, on se rapproche beaucoup plus sûrement de nos objectifs.                          A suivre...                

Il ne faut pas attendre que les choses, les gens ou les événements nous obligent. Il faut faire ce qu'il est possible et souhaitable de faire quand cela est possible. Pas lorsqu'on n'a plus le choix.   Car si l'on fait les choses par obligation, on ne les fait plus par choix. On les fait justement parce qu'on n'a plus le choix, parce qu'on n'a pas d'autre choix plus intéressant. Et ne plus avoir le choix est la pire chose qui puisse nous arriver...                         A suivre...                

Convaincre, se laisser convaincre, chercher absolument a` convaincre ? Telles sont les questions que l'on se pose souvent. Tout d'abord, rassurons nos lecteurs et lectrices sur cette série d'articles et leur finalité :    Ensuite, comment et pourquoi tenter de convaincre autrui ?  Est-ce vraiment indispensable ? Est-ce utile ? Est-ce efficace ?                Mais si l'on veut néanmoins absolument convaincre, comment doit-on s'y prendre ?   En fait, il existe deux techniques principales :        La seconde technique a notre préférence. Elle s'appuie notamment sur les travaux de l'Ecole californienne de Palo Alto et les recherches de Paul Watzlawick : la technique dite de "la prescription du symptôme". Au lieu de chercher par tous les moyens possibles et imaginables a` convaincre une personne qu'elle se trompe, le mieux est souvent de laisser cette personne aller jusqu'au bout de ses logiques, de ses raisonnements, de ses opinions. Ainsi, lo

Plus on occupe une fonction sociale et/ou professionnelle importante, plus on se doit d'avoir un comportement irréprochable sur les réseaux sociaux et dans les médias. Cela semble évident mais c'est loin d'être le cas.   Il n'est pas question de se montrer toujours sérieux et sentencieux, de ne jamais rire ni d'avoir aucun humour, de ne parler que de choses soi-disant "importantes" mais d'éviter de se décrédibiliser en racontant des inepties, en montrant son ignorance ou, pire, en relayant des fake news.   Certes, les niveaux sociaux ont accentué un certain nivellement par le bas :   Citation d'Umberto Eco   Mais les réseaux sociaux ont aussi permis a` des personnes qui n'avaient jamais le droit a` la parole de s'exprimer, quel que soit le "niveau" intellectuel de ces personnes. Et il est des personnes sans beaucoup de diplômes ni d'éducation qui ont des opinions et des avis souvent sensés et intéressants sur divers sujets (l&