COACHING, COMMUNICATION ET DEVELOPPEMENT PERSONNEL

Beaucoup d'ouvrages, de formations ou de conférences se focalisent sur la négociation commerciale. Ce qui fait que les techniques concernant celle-ci sont bien fournies.   Mais on passe aussi son temps a` négocier : - avec son conjoint. - avec ses enfants. - avec sa famille. - au travail. - dans la vie courante (achats, contrats). - au niveau national (discussions avec les partenaires sociaux, négociations diverses). - au niveau international (diplomatie).              A suivre...                    

La peur de faire des erreurs paralyse souvent l'action, les velléités de changement et les plus beaux élans. Mais faire des erreurs a de nombreux avantages car on apprend de ses erreurs.   Et ceux qui prétendent ne jamais se tromper : - soit mentent. - soit dissimulent leurs erreurs. Et ils ne tirent jamais les leçons de leurs erreurs.  A suivre...                

Ne pas agir maintenant, c'est agir plus tard. Le risque, c'est d'agir trop tard. De laisser passer les bonnes occasions et les opportunités. Agir trop tôt n'est pas mieux. Le risque, alors, est de se lancer dans une aventure aléatoire en marchant dans le brouillard.  Il faut donc agir au bon moment. Mais comment sait-on que c'est le bon moment ?      Le bon moment, ce n'est pas : - lorsqu'on a le plus d'informations a` disposition parce qu'on ne dispose jamais de toutes les informations possibles. - lorsqu'on le décide juste parce qu'on l'a décidé. - lorsqu'on rencontre des résistances.   Le bon moment, c'est : - lorsque des opportunités se dévoilent. - lorsque tout s'enchaîne facilement et harmonieusement. - lorsque chaque action, chaque initiative, aussi petite soit-elle, produit les effets espérés. Et, contrairement a` ce que l'on pense dans un pays scientiste et rationaliste comme la France, ce n'est pas avec la ra

Une personne compétente n'a pas toujours conscience de sa compétence. Et c'est bien dommage ! Une personne incompétente, elle, peut se trouver dans deux cas de figure : - soit elle a conscience de son incompétence et, dans ce cas, elle passera la majeure partie de son temps a` tenter de la dissimuler et a` rejeter la faute sur les autres. - soit elle n'a pas conscience de son incompétence et, dans ce cas, elle risque de causer beaucoup de dégâts. Encore plus si l'incompétent arrive a` s'auto-persuader qu'il est compétent.           Pour quelqu'un de compétent, il peut parfois se révéler utile de faire croire qu'il est incompétent. Sa défense sera alors : "Ce n'est pas de ma faute, c'est de la faute a` personne, c'est de la faute aux autres." C'est ainsi que l'on entend (assez) souvent parler d'affaires judiciaires ou` il y a des victimes mais ou` il n'y a pas de responsables ni de coupables. Comme s'il pouvait y

L'incompétent, quelle que soit sa fonction, se reconnaît aisément : quoiqu'il arrive, ce n'est jamais de sa faute.  L'incompétent n'est jamais responsable de rien. Comme un enfant, il rejette la responsabilité sur les autres : "C'est pas moi, c'est lui !" Evidemment, plus un incompétent occupe des fonctions importantes, plus un tel comportement devient risible. Et contre-productif s'il est trop souvent répété. A l'inverse, une personne compétente connaît sa valeur, ses limites et reconnaît ses erreurs. Ce qui lui permet d'ailleurs de devenir souvent encore plus compétente (résolution des problèmes et enseignements tirés des échecs).       Si l'incompétence engendre des effets négatifs encore contrôlables et maîtrisables aux niveaux de hiérarchie les plus bas, les conséquences deviennent souvent fâcheuses lorsque l'incompétent(e) occupe une fonction importante, un poste hiérarchique élevé ou est un "manager". Evidemment