COACHING, COMMUNICATION ET DEVELOPPEMENT PERSONNEL

Il est rare que l'on soit heureux sans rien faire. Le plus souvent, c'est faire des choses qui nous plaisent qui nous rend heureux. On sait aussi le plus souvent ce qui nous rend heureux, ce qui pourrait nous rendre heureux. Mais, parfois, on ne sait pas que certaines choses pourraient nous rendre heureux. Alors, comment les découvrir ? En essayant de faire des trucs nouveaux, des expériences nouvelles et d'avoir des nouvelles relations.                    A suivre...              

Il existe les méthodes classiques pour accroître ses compétences : apprendre, se former, découvrir de nouveaux champs d'expérience, se lancer des défis, etc... Il existe aussi des pratiques basées sur des techniques de psychologie cognitive, sur les techniques d'apprentissage.    1) il faut dépasser le stade 1 (incompétence inconsciente). 2) ensuite, prendre conscience de son incompétence. 3) sélectionner un domaine dans lequel on veut lutter contre son incompétence ou accroître ses compétences. 4) utiliser enfin ses nouvelles compétences naturellement. La technique repose sur deux postulats : - une prise de conscience de son incompétence (qui nécessite interrogations et remises en question). - une volonté de devenir compétent dans un ou plusieurs domaines dans lesquels on était auparavant incompétent (ou faiblement compétent).  Ces postulats reposent sur les principes suivants :  - l'incompétence est relative et non pas absolue. - on peut se croire incompétent alors que l&

Ce qui entrave le plus la progression vers le bien-être et le bonheur, ce sont les limites. Limites réelles et limites supposées. Il y a bien entendu tout un tas de limites qu'il est préférable de respecter (limites légales, limites de propriété, limites de la bienséance, etc...)    Par contre, la perception des limites personnelles est le plus souvent assez floue : - ou` sont mes véritables limites ? - ai-je déja` atteint mes limites ? - puis-je dépasser mes limites (réelles ou supposées) ?       Pour savoir avec exactitude ou` sont nos réelles limites personnelles, il n'y a pas 36 solutions : il faut se lancer des défis, il faut se donner des objectifs ambitieux. C'est la seule façon de tester nos limites.     A suivre...                      

Il est préférable dans l'existence d'avoir des objectifs clairs et précis que pas d'objectifs du tout. Et il y a un domaine ou` il est difficile d'échapper aux objectifs car ils sont le plus souvent décidés par d'autres : le domaine professionnel.   Mais, que l'on se donne soi-même des objectifs ou qu'on nous impose des objectifs, il convient de les évaluer soigneusement : - sont-ils réalistes ? - sont-ils réalisables ? - sont-ils difficilement ou facilement réalisables ? - sont-ils trop nombreux ? - sont-ils cohérents ou contradictoires ?      Car un objectif doit non seulement être adapté au but qu'il se donne mais aussi a` la personne qui poursuit cet objectif.                  

On m’a dit qu'il fallait venir d’un bon lycée, faire une classe prépa, toujours afficher son sérieux et, bien entendu, appartenir au sérail.  On m’a dit que pour être lu sur Instagram, il était nécessaire d’abuser des couleurs, de poster à 18 h et de faire des "reels".  On m’a dit que, pour manager des équipes, il fallait appliquer des méthodes bien précises, toujours respecter la hiérarchie et mener avec rigueur les entretiens annuels.  On m’a dit que le sport, pour être résistant et performant, il fallait l’avoir commencé tôt.  On m’a dit que la sécurité, c’était d'être propriétaire à 30 ans. On m’a dit que pour créer une entreprise, il fallait faire partie de la dynastie des "start-uppers", avoir le style "hipster" et se faire racheter par une grosse boîte le plus tôt possible pour devenir millionnaire a` 30 ans. On m’a dit que les enfants, c’était mieux d'en avoir avant 30 ans.      Mais on ne m'a jamais dit comment faire pour

Dans bon nombre de situations, on se dit : "J'aimerais bien faire cela mais ça ne va pas marcher, j'en suis sûr !" Pourtant, on sait qu'on a raison de faire ceci, que notre idée est bonne, que l'on a le droit (et parfois le devoir) de faire cela pour nous-mêmes. Mais on doute, on craint l'échec, on craint la déception.   Ce qu'il faut faire, c'est au moins essayer. Pour voir. Et, beaucoup plus souvent qu'on ne le pense, ça marche, ça passe sans encombres, ça fonctionne !               A suivre...                  

Reste a` voir les motifs de démission qui sont considérés comme légitimes et qui peuvent donner droit a` l'allocation-chômage : - pour suivre son conjoint qui change de lieu de résidence pour exercer un nouvel emploi. - suite a` mariage ou Pacs entraînant un changement de lieu de résidence. - pour non-paiement des salaires (mais avec justification d'une ordonnance de référé). - suite a` un acte délictueux dont le salarié a été victime dans le cadre de son travail (mais avec justification de dépôt de plainte). - pour créer ou reprendre une entreprise. - pour cause de reconversion professionnelle (mais avec justificatifs et démarches obligatoires). Il y a actuellement environ 17 motifs de démission légitime. Comme la législation évolue sans cesse, comme les droits a` l'assurance-chômage changent sans cesse (et vont encore changer), comme des procédures de départ de l'entreprise risquent de se voir remises en question dans l'avenir (la rupture conventionnelle par exemp

Il y a 3 styles d'entreprises (et de management) : - celles qui font tout pour garder leurs salariés. Leur devise : "Les salariés heureux font les entreprises prospères." - celles qui se fichent complètement de ne pas garder leurs salariés (et qui se plaignent ensuite d'avoir du mal a` embaucher car ce sont souvent les mêmes). Leur devise : "Si t'es pas content, tu te barres !" - celles qui pensent que les salariés sont interchangeables. Leur devise : "Nul n'est irremplaçable !"      La dernière catégorie est assez répandue : beaucoup d'entreprises pensent que les salariés sont interchangeables, que l'on peut toujours trouver un équivalent sur le marché du travail. C'est parfois vrai mais cela peut s'avérer une tactique risquée. Il nous revient en mémoire une entreprise qui perdit plusieurs membres de son équipe commerciale (sans s'alarmer outre mesure), puis son directeur commercial, puis le responsable de la logistique