COACHING, COMMUNICATION ET DEVELOPPEMENT PERSONNEL

Paradoxalement, plus on sort de sa zone de confort en se dirigeant vers l'inconnu, plus on se rapproche de la zone de panique. Mais plus on se rapproche de la zone de découvertes également. Et la limite est parfois ténue entre la zone de créativité, la zone de déploiement personnel, la zone de progrès... et la zone de panique. Mais il est difficile d'obtenir des résultats sans sortir de sa zone de confort. Sortir de sa zone de confort implique de prendre des risques.  Sans compter le fait que la zone de sécurité peut glisser imperceptiblement avec le temps et procurer une fausse sécurité, une sécurité illusoire.  Dans ce cas, la zone de panique devient une projection mentale totalement dénuée de tout fondement puisque la zone de sécurité s'est déplacée et que cela fait longtemps que l'individu aurait du paniquer. En résumé, il y a plus d'avantages que d'inconvénients a` sortir de sa zone de sécur

Notre zone confort, c'est notre zone du connu. C'est la zone de la sécurité (du moins le croit-on) mais, a` moyen terme, c'est aussi la zone de l'ennui. On fait toujours les mêmes choses, on voit toujours les mêmes gens, on reste toujours aux mêmes endroits, on pense toujours de la même façon. Et il n'arrive plus rien de nouveau, plus rien de motivant, plus rien d'excitant. Pour évoluer, pour vivre de nouvelles expériences, pour avoir une vie "bien remplie", il faut sortir de sa zone de confort.  A suivre...  

Si l'on n'exprime pas ce que l'on pense et ce que l'on est, si l'on ne s'exprime pas, on refoule. On refoule sa personnalité, ses émotions, ses besoins. Et refouler, c'est mauvais pour la santé, pour l'équilibre psychique, pour le bien-être personnel, familial, professionnel et existentiel. Donc, il faut exprimer. Mais quoi par exemple ? Il est préférable d'exprimer : - ses sentiments - sa spontanéité - sa véritable personnalité  - ses satisfactions et insatisfactions  - ses critiques (constructivement et sans agressivité) - ses regrets (mais sans se dévaloriser ni s'excuser) - ses refus (savoir dire "non") - ses opinions - ses gouts - ses préférences - ses urgences - ses besoins et ses demandes - son unicité - ses droits - ses talents - ses propres solutions.  Finalement, exprimer ce que l'on est vraiment. Affirmer ce que l'on est. Et non pas le nier partiellement ou en totalité (cela arrive). P

Faire un choix n'est jamais anodin. Faire un choix, c'est s'orienter dans une direction. Direction ou` l'on tracera un sillon. Plus le sillon sera profond, plus il sera difficile de revenir sur son choix ou de faire d'autres choix. Et une répétition de choix (bons ou mauvais) font a` la finale une destinée. Quelques exemples illustreront facilement la problématique du choix (qui n'est pas si innocente qu'elle y paraît) : Nourriture saine > 100€ = Trop cher. Restaurant > 100€ = C’est raisonnable.  Complément alimentaire bio > J’ai pas les moyens. Boissons en soirée  > 100€ chaque semaine.  Formation de développement personnel ou coaching > 780€ = Trop cher. Sac de grande marque > 780€ = J’en ai besoin. Démarrer un business > 1000€ = Tu es dingue ! iPhone > 1000€ = C’est nécessaire ! 60 min de sport > J’aimerais avoir le temps. 60 min de télévision > Le temps passe trop vite, on remet un autre DVD ? 

Un des travers des civilisations modernes est la complexification a` outrance. Plus c'est compliqué, mieux c'est ! Dans les années 60, des expériences menées par des psychologues ont montré que nous préférons des théories séduisantes et compliquées mais fausses plutôt que des explications simples mais vraies. Ce qui est assez inquiétant : il suffit donc d'un beau parleur doué pour emporter notre adhésion alors qu'une personne s'exprimant simplement ne sera pas crue. Car c'est trop simple pour être vrai ! Et pourtant, les règles du jeu de la vie sont simples :  - faire une seule chose a` la fois. - ignorer les pensées négatives. - savoir être heureux la` ou` nous sommes. - savoir que l'on est ce que l'on fait. - apprendre a` dire : "je ne sais pas". - s'accepter en totalité : avec ses qualités et ses défauts. - écouter ses émotions autant que sa raison. - ne pas répondre a` tous les "SOS" d'autrui. - ne pas

Suivre des règles ? Quelle vilaine formulation ! Car les règles résonnent comme une obligation. Sauf que la vie est un jeu. Et dans tout jeu, il y a des règles. Alors, suivre les règles qu'il est avantageux pour soi de suivre, qu'il est préférable de suivre, c'est une obligation qui devient une libération. Voici donc quelques règles du jeu de la vie :  - accepter l'imperfection. - savoir que stress et anxiété dévorent l'énergie vitale. - ne pas se surcharger de tâches et de responsabilités. - prendre du temps pour soi. - vivre l'instant présent. - laisser les autres avoir raison. - relativiser les événements : quelle importance tout cela aura-t-il dans un an ? - accepter l'idée que la vie est injuste. Et faire avec.  - laisser mijoter ce qui n'est pas encore prêt a` être résolu. - bien choisir ses croisades. - surveiller ses sautes d'humeur.  - considérer la vie comme un test. - savoir accepter reproches et compliments. - n