COACHING, COMMUNICATION ET DEVELOPPEMENT PERSONNEL

Dans une société qui prône l'hyperactivité, il semble étonnant que la procrastination soit en fort développement. A moins que la surcharge de tâches aboutisse a` la paralysie de l'action et a` la procrastination. Ce qui serait un effet paradoxal de l'agitation perpétuelle de nos sociétés modernes occidentales.  Mais, tout d'abord, qui est touché ? Et combien ?  Mais faut-il systématiquement blâmer les procrastineurs ? Ils ont parfois de bonnes raisons de procrastiner : - surcharge de travail. - absurdité ou inutilité des tâches a` accomplir. - burn-out. - ordres contradictoires ou paradoxaux. - mélange de l'important et du pas important, de l'urgent et du pas urgent. - ennui.  La procrastination devient problématique lorsqu'elle devient un déni, un refus d'avancer.  Alors s'enclenche un cercle vicieux. Lorsque procrastiner devient une (mauvaise) habitude, les conséquences peuvent devenir franchemen

On ne désirerait pas changer si l'on ne croyait pas quelque peu en son avenir. On ne change que parce que l'on désire un avenir meilleur. Et le changement fait partie des fondations et de la construction de l'avenir souhaité.  

On dit souvent que c'est le premier pas qui compte. Concernant le changement, les premiers pas sont essentiels. Souvent les plus difficiles a` effectuer. Mais les premiers résultats sont toujours encourageants, incitant a` persévérer dans le changement. Et attention a` ne pas négliger le changement intérieur. Il est autant une cause qu'une conséquence du changement extérieur.  A suivre...  

On peut avoir envie de changer pour réaliser de nouveaux projets. On peut aussi ressentir la nécessité de changements pour se sentir mieux vivre, tout simplement. Les deux raisons n'étant nullement exclusives. Car, souvent, le fait d'avoir de nouveaux projets et de nouvelles orientations de vie plus conformes a` ce que l'on souhaite et a` ce que l'on est a pour conséquence immédiate de rendre plus heureux.  A suivre...