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Affichage des articles du octobre, 2021

PENSER PAR SOI-MEME : EXERCICES ET TECHNIQUES (PART 51)

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Nous avons vu qu'en règle générale les idées des autres ne nous sont pas d'une grande utilité pour mener notre vie. Bien sûr, certaines idées et pensées d'autrui peuvent nous inspirer. Mais elles ne doivent pas s'imposer dans nos vies.   Pour savoir si nous sommes perméables un peu, beaucoup ou pas du tout aux idées d'autrui, posons-nous par exemple les questions suivantes : - qui a décidé des études que nous avons faites ? - qui a décidé le travail que nous faisons actuellement ? - qui a décidé ou` nous habitons actuellement ?  - qui a décidé de notre mariage ? - qui a décidé du nombre d'enfants que nous avons ? - qui a décidé du lieu ou` nous allons en vacances ? - qui a décidé de nos opinions politiques et religieuses ? - qui a décidé de nos projets pour l'avenir ?                        A suivre...                  

PENSER PAR SOI-MEME : EXERCICES ET TECHNIQUES (PART 50)

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"Rendez aux autres ce qui leur appartient ! Rendez aux autres les idées qui leur appartiennent !" Autant il semble évident de rendre aux autres les choses que nous leur avons empruntées, les objets qui ne nous appartiennent pas, autant il est beaucoup moins évident de rendre a` autrui les idées qui lui appartiennent. Et pourtant, cela serait logique ! A quoi peuvent bien nous servir les idées des autres, les idées utiles pour leur vie mais pas pour la nôtre, les idées qu'ils nous proposent, qu'ils nous imposent et que nous utilisons ensuite comme si elles étaient nôtres ? Nous viendrait-il a` l'idée de garder un violon confié par autrui alors que nous ne savons pas jouer du violon ? Alors, pourquoi gardons-nous des idées qui ne nous servent a` rien ? Plus grave encore : pourquoi utilisons-nous des idées, des idées d'autrui qui ne peuvent nous servir a` rien ?                    A suivre...                                

PENSER PAR SOI-MEME : EXERCICES ET TECHNIQUES (PART 49)

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Une des techniques pour mieux penser et penser par soi-même nous est donnée par la systémique ainsi que par la "théorie des classes logiques". Prenons un exemple concernant la conduite automobile : - lorsqu'on conduit, on effectue deux opérations : accélération et changements de vitesse. - accélérer s'effectue sur une même vitesse : c'est un changement dans un même système (changement de type 1). - changer de vitesse, c'est changer de système, c'est passer dans un type d'ordre supérieur, c'est progresser pour aller plus vite (changement de type 2).  Lorsque dans notre existence un changement de type 1 est insuffisant pour résoudre une problématique ou pour progresser, un changement de type 2 est souvent nécessaire (changer de vitesse, changer de système de référence, passer a` la vitesse supérieure). Parce qu'accélérer de plus en plus sans changer de vitesse aboutit souvent a` la casse du moteur.                       A suivre...