COACHING, COMMUNICATION ET DEVELOPPEMENT PERSONNEL

Avec l'affabulation, nous passons aux mensonges structurés, élaborés et répétitifs. Il n'y a pas que les individus lambdas qui soient des affabulateurs. Il y a des dirigeants (politiques ou d'entreprises) qui affabulent, qui distillent constamment des "fake news". Et pas seulement dans les dictatures : tout le monde se souvient des fabuleux talents d'affabulateur de Donald Trump, par exemple, expert de plus en fake news (ce qui lui a valu le blocage de ses comptes sur les réseaux sociaux). Affabuler, c'est construire un système de mensonges pour des raisons diverses : obtenir un travail, garder sa place, se faire réélire, séduire un.e partenaire, dissimuler ses propres manquements et incapacités...     L'étape suivante (et le degré supérieur) est la mythomanie : la mythomanie se caractérise par des mensonges compulsifs répétés, incessants visant a` se protéger soi-même. L'individu est incapable d'affronter la réalité, sa propre réalité. Le myth...

Tout le monde ment. Plus ou moins mais on ment en moyenne deux fois par jour avec une égalité hommes/femmes. Pour des raisons diverses. Mais il y a mentir et mentir. Il y a tout d'abord des degrés dans le mensonge : les petits mensonges, les gros mensonges, l'affabulation et la mythomanie. Et il y aussi différentes raisons de mentir. Plus ou moins valables, plus ou moins acceptables socialement, plus ou moins nuisibles : 1) il y a le mensonge plaisanterie. Anodin. 2) il y a le petit mensonge qui ne prête pas à conséquence : mensonge pieux, mensonge pour ne pas peiner inutilement autrui. 3) il y a le mensonge pour préserver son image. Si l'individu est de type "narcissique", il peut accumuler ce genre de mensonges et finir par devenir un mythomane. 4) il y a ensuite le mensonge pour obtenir un avantage : vendre par exemple (techniques de marketing, publicité). 5) il y a le mensonge qui vise a` éviter les conflits : dans la diplomatie par exemple.       Viennent en...

Lorsque l'on a réussi a` bien structurer ses pensées et, par conséquent, ses objectifs et son mode de vie, on peut avoir la tentation d'éviter toutes les personnes susceptibles de nous apporter la contradiction ou susceptibles d'entrer en confrontation avec nous-mêmes sur des sujets divers. Les optimistes et les moralistes diront que c'est de la confrontation des idées que surgit (parfois) la vérité. Les pessimistes et les pragmatiques diront que, une fois que l'on a bien structuré ses modes de pensée, c'est une perte de temps que de discuter et d'argumenter avec des contradicteurs. En résumé, chacun fera donc comme il veut...           A suivre...              

Démissionner n'est pas une initiative facile a` prendre et comporte toujours une part d'incertitudes. Mais, parfois, c'est une nécessité. Parce que l'on risque de perdre sa santé physique et psychique dans le job que l'on exerce actuellement. Et si l'on perd sa santé et ses capacités personnelles, a` quoi bon persister dans un travail qui nous détruit ?   Alors, quels sont les signes avertisseurs d'une crise existentielle et professionnelle profonde et quels sont les 3 principales formes d'épuisement professionnel qui peuvent toucher un salarié et le pousser a` changer de job ?                        

Il n'est pas toujours facile de penser par soi-même dans un pays ou` la majorité des médias appartient a` une poignée de personnes dans leur ensemble favorables au pouvoir en place et ou` d'autres médias (publics ou privés) relaient docilement les propos et la doctrine gouvernementale. Les voix discordantes se font de plus en plus rares. Sauf que cela n'a jamais été dans les médias que l'on peut apprendre a` penser par soi-même. C'est en discutant avec les autres (instruits de préférence) et en lisant des livres (il en existe des millions) que l'on finit un jour par penser par soi-même. En n'oubliant pas non plus tout ce que l'on apprend par sa propre expérience.                   A suivre...