COACHING : SAVOIR DEJOUER LES PIEGES DE NOTRE CERVEAU

Le cerveau utilise de préférence les circuits les plus faciles pour lui et ce sont ceux qui sont les plus anciens ou les plus fortement imprimés. Créer de nouvelles petites connexions est relativement aisé mais modifier les plus fondamentales est parfois quasi-impossible...

Esher est le maître des paradoxes visuels : les personnages donnent l'impression de monter sans cesse, ce qui est impossible !

Notre vision est bien imparfaite alors qu'on la croit objective : même les effets de perspective ne sont pas fiables...

Quel est le bon angle pour apprécier cette image : tous, certains ou aucun ?

Nous croyons être au moins certains de nos perceptions alors que nous acceptons que nos opinions soient plus aléatoires. Et pourtant : nos perceptions sont aussi des interprétations de la réalité. Les plus grandes erreurs judiciaires proviennent des témoignages : le témoin n'a pas VU la réalité des faits, il a vu ce que sa grille de perception et d'interprétation personnelle lui permet de voir. Ce qui n'est pas du tout la même chose !

Ceci apporte "de l'eau à notre moulin" : encore faut-il que l'eau coule de haut en bas et non pas de bas en haut...

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