PENSÉES POUR LE MONDE D'APRES (seconde partie)

L'épidémie de Covid-19 a profondément déstabilisé nos sociétés. A de nombreux niveaux. Ce qui signifie donc que nos sociétés n'étaient pas si stables que cela : erreurs majeures concernant le domaine de la santé (baisse des dépenses, fermeture d'hôpitaux et de services de réanimation...), délocalisations massives rendant de nombreux pays dépendant d'autres pays pour des biens vitaux, fragilité des économies basées uniquement sur les services (tourisme) et fragilité des économies basées sur la dépendance (entreprises de sous-traitance dans les pays pauvres), etc...

Mais cette pandémie a montré aussi des élans de solidarité et d'entraide que l'on croyait disparus, un dévouement incroyable de la part d'un corps médical souvent malmené par les institutions depuis une décennie, une responsabilisation (et donc une conscience aiguë) chez un nombre surprenant de personnes, etc...

Tous les espoirs sont donc permis. En n'oubliant pas ce que nous avons souligné dans l'article précédent : dans le monde d'après (le coronavirus), il y aura deux blocs : ceux qui ne veulent surtout pas bouger ni changer et ceux qui ont tiré toutes les leçons de cette crise et qui ont compris que le mot-clef de la survie depuis la création de l'humanité est "adaptation".




























































 A suivre...














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