VAINCRE SES ENNEMIS : LES MEILLEURES TACTIQUES (PART 10)

Parmi les ennemis, il y a les faux-amis. Souvent plus dangereux et nocifs que les vrais ennemis.

Car le faux-ami :
- joue double jeu (c'est un agent double, les plus dangereux).
- est proche par intérêt.
- espionne (pour son propre compte ou pour celui des autres).
- flatte parfois pour mieux trahir ensuite.
- peut se transformer en ennemi sans prévenir.
- est jaloux, envieux, médisant.

Un endroit parfait pour se rendre compte de la présence et de l'action des faux-amis sont les réseaux sociaux et plus particulièrement Facebook. Qui n'a jamais eu un jour un soi-disant ami sur Facebook qui était en réalité un des meilleurs amis de votre pire ennemi ?



Suite des préceptes de Sun-Tzu (a` noter que les conseils concernant les montagnes et les fleuves peuvent être transposés dans des situations similaires mais plus adaptées a` la vie moderne ou allégoriques : par exemple, la montagne peut être assimilée a` un supérieur dans une entreprise) :

153. Lorsque l’on traverse les montagnes, suivre les vallées.

154. Lorsque l’on traverse les montagnes, choisir son camp à l’adret d’une hauteur.

155. En montagne, toujours chercher à combattre en position dominante.

156. En montagne, éviter d’avoir à monter à l’assaut.

157. Toujours s’établir à quelque distance d’un cours d’eau que l’on vient de traverser.

158. Si l’armée adverse rencontre un fleuve dans sa progression, plutôt que de la combattre sur la rive opposée, attendre que la moitié de ses effectifs aient traversé pour attaquer.

159. Si on livre bataille en milieu fluvial, ne pas se poster près de la rive, mais prendre position sur une éminence orientée au sud.

160. En milieu fluvial, ne jamais être en aval de l’ennemi.

161. Quand on traverse une région coupée de marécages, hâter le pas et s’en éloigner au plus vite.

162. S’il faut affronter l’ennemi en zone marécageuse, se tenir à proximité des herbes aquatiques, dos à la forêt.

163. En terrain plat, choisir un terrain aisé avec l’aile droite adossée à une éminence.

164. Préférer les terrains élevés aux terrains bas.

165. Préférer l’adret à l’ubac.

166. En présence de monticules ou de remblais, s’établir sur le versant ensoleillé en y appuyant son flanc droit.

167. En cas d’averse sur le cours supérieur d’un fleuve que l’on veut traverser en aval, ne franchir le gué qu’une fois la crue passée et l’étiage revenu à la normale.

168. Dans les contrées coupées de précipices, fuir au plus vite et ne pas s’en approcher.

169. Pour traverser des défilés, des dépressions humides recouvertes de roseaux ou des montagnes boisées à la végétation luxuriante, procéder à des battues méticuleuses pour éviter les embuscades.

170. Lorsque l’adversaire se porte aux devants et tarde à engager le combat sans toutefois se retirer, faire preuve de la plus grande circonspection.

171. Savoir concentrer ses forces.

172. Evaluer l’adversaire.

173. Se gagner le cœur de ses hommes.

174. Réfléchir avant le combat pour ne pas être vaincu.

175. Ne pas mépriser l’ennemi.

176. Ne pas sévir contre des troupes qui ne nous sont pas attachées.

177. Ne pas se refuser à appliquer les châtiments sous prétexte que les troupes nous sont attachées.



 A suivre...























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