VAINCRE SES ENNEMIS : LES MEILLEURES TACTIQUES (PART 8)

Dans les aléas de l'existence, il arrive parfois de curieux paradoxes :
- une fois la période d'affrontement terminée, certains ennemis deviennent des amis. Ou, tout au moins, des adversaires respectueux.
- des amis considérés comme tels depuis de nombreuses années se révèlent parfois être de faux amis et de vrais ennemis. On a couvé une vipère en son sein !
- on obtient parfois plus de respect et de considération de la part de ses ennemis que de la part d'amis pourtant considérés comme proches.



Pour toutes ces raisons, révisez les préceptes de Sun Tzu peut s'avérer utile. Voire indispensable.

94. Savoir faire du chemin le plus long le chemin le plus court.

95. Renverser le désavantage en avantage.

96. Posséder à fond la dialectique du direct et de l’indirect, savoir user du paradoxe, des doubles contraintes, des deux langages (verbal et non-verbal).

97. Connaître les objectifs stratégiques des autres princes.

98. Connaître la nature du terrain.

99. Savoir faire usage d’éclaireurs (et de bons informateurs).

100. Savoir se diviser et se regrouper au gré des mouvements de l’adversaire.

101. Avoir une armée preste comme le vent.

102. Avoir une armée majestueuse comme la forêt.

103. Avoir une armée dévorante comme la flamme.

104. Avoir une armée inébranlable comme la montagne.

105. Avoir une armée insaisissable comme l'ombre.

106. Avoir une armée qui frappe avec la soudaineté de la foudre.

107. Répartir le butin entre ses hommes lorsque l’on pille une région.

108. Distribuer les profits lorsque l’on occupe un territoire.

109. Toujours peser ses décisions en fonction de l’opportunité des circonstances.

110. Savoir doser les stratégies directes et indirectes.

111. Suppléer à la voix par le tambour et les cloches (savoir communiquer par de multiples moyens).

112. Suppléer à l’œil par les étendards et les guidons (user des effets visuels et des effets de communication non-verbaux).

113. La nuit, utiliser de préférence les feux et les tambours, et, le jour, les bannières et les drapeaux (adapter les moyens de communication).
.
114. Eviter l’ennemi quand il est d’humeur belliqueuse.

115. Attaquer l’ennemi quand il est indolent ou nostalgique.

116. Opposer des combattants placés à proximité du théâtre des opérations à des hommes qui viennent de loin.

117. Opposer des troupes fraîches à des soldats épuisés.

118. Opposer des ventres pleins à des ventres vides.

119. Ne pas affronter des bannières fièrement déployées ni des bataillons impeccablement ordonnés.

120. Ne pas planter ses quartiers face à un lieu élevé.

121. Ne pas prendre position devant un ennemi qui s’adosse à une éminence.

122. Ne pas poursuivre une armée dont la retraite est simulée.

123. Ne pas attaquer des corps d’élite.

124. Ne pas gober l’appât que tend l’adversaire.

125. Ne pas barrer la route à une troupe qui regagne ses foyers.

126. Ménager une issue à une armée encerclée.

127. Ne pas forcer un ennemi aux abois.




 A suivre...

















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