PENSÉES POUR VIVRE HEUREUX EN ATTENDANT LA RETRAITE (et la réforme des retraites) PART 83

Une approche sociologique rapide et succincte (mais pas infondée) classe souvent les personnes en deux catégories : les dominants et les dominés.

Mais des expériences maintes fois renouvelées avec des rats (et transposables aux humains) ont démontré qu'en situation de compétition (obtention de nourriture par exemple), les individus se répartissaient toujours selon des proportions identiques : 25% d'exploiteurs (dominants), 45% d'exploités (dominés), 15% de souffre-douleur (boucs émissaires) et 15% d'autonomes (indépendants).

Les 15% d'autonomes ne sont ni des dominants ni des dominés. Les dominants n'ont aucune prise sur eux et ces autonomes ne cherchent a` dominer personne, s'occupant de leurs propres affaires sans rien demander a` personne. 

 

 

Autre enseignement intéressant : contrairement a` ce que l'on aurait pu penser, c'étaient les exploiteurs (dominants) qui accumulaient le plus de stress (ayant constamment peur de perdre leur pouvoir). Alors que les dominés étaient beaucoup moins stressés dans leur (fausse) sécurité que leur procurait le fait de dépendre des dominants (qui prenaient les décisions a` leur place).

 

Moralité de l'histoire : pour s'extraire du jeu social "dominants-dominés", il faut devenir autonome. 




 


 


 



 




A suivre...

 

 

 

 

 

 



 

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