COACHING, COMMUNICATION ET DEVELOPPEMENT PERSONNEL

Il existe de nombreuses façons de considérer le bonheur. On peut le considérer comme un cheminement (une façon de voyager) ou comme un but (un achèvement).   On peut le considérer comme la paix totale avec soi-même...      ou comme une absence de malheur (le bonheur en tant que contraste) :  On peut enfin le considérer comme une aventure.     A suivre...                

Pour éviter de devenir paranoïaque, il convient : - de ne pas se méfier de tout et de n'importe quoi. - de ne pas se laisser piéger par les prophéties auto-réalisatrices (voir articles précédents). - de trouver le juste milieu entre méfiance et naïveté : la vie n'est certes pas un long fleuve tranquille et elle comporte bon nombre de situations conflictuelles, déplaisantes ou ambigües. Pour ne pas sombrer dans la paranoïa a` la moindre situation anxiogène, il convient d'éviter de s'enfermer dans des ruminements intérieurs sans fin, dans des supputations forcément négatives. Au contraire, il faut aller se confronter a` la situation désagréable pour pouvoir réellement l'estimer a` sa réelle importance (ou insignifiance). Annoncer ses intentions au lieu de les cacher ou d'imaginer le pire. Préférer la négociation et l'épreuve de vérité a` l'isolement mental.      Pour terminer, voici quelques tableaux indiquant une personnalité paranoïaque ainsi que ses pro

Nous l'avons vu, devenir paranoïaque n'est pas bien compliqué. Sortir de la paranoïa, par contre, est nettement plus ardu une fois que celle-ci est bien installée.      Car les prophéties auto-réalisatrices (ou "effet Pygmalion") se renforcent d'elles-mêmes : tout nouveau fait survenant sera systématiquement interprété comme confirmant les "bonnes" raisons que l'on a de se méfier, d'être paranoïaque. C'est un cercle sans fin qui se referme sur le paranoïaque.        Il va de soi qu'une fois paranoïaque, la vie personnelle, sociale et professionnelle devient gravement compromise. Et lorsqu'on est devenu paranoïaque, plus on croit que l'on doit se méfier de tout et de tous, plus on devient agressif :   Avec toutes les conséquences que cette paranoïa peut entraîner : perte du travail, perte des relations, conflits familiaux et conjugaux, comportement "borderline" et asocial pouvant amener des ennuis légaux, etc...      A su

Tout d'abord, il serait erroné de croire que la paranoïa ne concerne que les autres. Il est assez facile de devenir paranoïaque.   Le cercle vicieux est le suivant : - je pense que mes collègues parlent derrière mon dos et je commence a` me méfier d'eux. - plus je me méfie, plus ils prennent leurs distances avec moi. - plus ils prennent leurs distances, plus cela prouve qu'ils complotent contre moi.   On devient donc paranoïaque avec plein de bonnes raisons (du moins le croit-on).  Mais, en fait, on est tombé dans le piège des prophéties auto-réalisatrices :  Prophéties qui fonctionnent dans tout un tas de domaines de la vie courante, sociale et/ou professionnelle.           On appelle aussi cela "l'effet Pygmalion" :         Une fois que l'on est devenu(e) un peu ou beaucoup paranoïaque, il n'est pas facile de faire machine arrière : si ceux dont je pense qu'ils complotent contre moi tentent de me persuader que je me fais des idées et qu'il n&

Les gagnants ont toujours raison. Non pas parce que c'est vrai dans l'absolu mais parce qu'ils ont gagné. Par exemple, si vous tentez de prouver avec force arguments qu'un gagnant a tort sur tel ou tel point, il vous répliquera immédiatement : "Oui mais, moi, j'ai réussi !" Et si vous n'avez pas réussi au niveau du gagnant qui vous répond cela, vous ne pourrez pas aller plus loin dans la discussion.   Evidemment, dans ce cas, le gagnant élude la question et évite de répondre en se cachant derrière sa réussite. C'est souvent déplaisant mais c'est ainsi. Et si vous insistez trop, le gagnant vous rétorquera : "Quand vous serez arrivés la` ou` je suis arrivé, on en reparlera !"                A suivre...                

Pour vivre heureux, il faut éviter ce que l'on nomme le "syndrome d'utopie". Ne pas se dire que l'on ne peut pas être heureux sans avoir gagné au loto, sans se marier avec une star du cinéma, sans être devenu auparavant célèbre, etc...   Ne vouloir pour soi que des "grandes" choses (souvent irréalisables ou utopiques) et refuser systématiquement les "petites" choses éloigne du bonheur. Car le bonheur est plus souvent une accumulation de petites choses bienfaisantes qu'un événement miraculeux soudain.                   A suivre...