Avant d'entrevoir une solution possible, il faut gérer le conflit. Sans se faire déborder, sans nier le probleme, sans se précipiter. Tout en souplesse. 1) A quel type de conflit a-t-on affaire ? 2) Quel comportement est le plus efficace dans ce conflit précis ? 3) Quelle attitude adopter dans la forme ? 4) Comment gérer ses frustrations, ses ressentiments, ses emportements ? Ensuite, on peut tenter de résoudre le conflit. En n'oubliant pas d'évaluer les résultats de la solution appliquée au conflit. En théorie des jeux, il y a 4 positionnements possibles qui déterminent l'issue du conflit : - je gagne - tu perds (affrontement) : ma solution l'emporte. - je perds - tu gagnes (lutte, affrontement) : ta solution l'emporte. - nous perdons tous les deux (combat sans merci) : pas de solution possible, conflit sans fin, pertes mutuelles élevées. - nous gagnons tous les deux (coopération, négociation) ...
La PNL, au même titre que l'Analyse Transactionnelle ou d'autres thérapies cognitives, est un outil relativement clair et simple à utiliser. Une technique intéressante en PNL est celle de "l'ancrage". En cas de désarroi, de confusion mentale et/ou émotionnelle, se créer une "ancre" est un moyen rapide de se recentrer. L'ancre est en général un souvenir positif, une victoire personnelle que l'on réactive par une gestuelle (par exemple, en appuyant avec le pouce dans la paume d'une main) dans les moments critiques.
Les définitions concernant ce qu'est un bon et un mauvais caractère varient. Elles varient selon les époques (se montrer batailleur était bien vu au Moyen-Age mais nettement moins de nos jours), selon les milieux sociaux-professionnels, selon les classes sociales. Et ces définitions sont forcément subjectives et souvent ambiguës. Car si avoir un bon caractère permet de se lier facilement a` d'autres personnes et de s'intégrer aisément dans des groupes, avoir trop bon caractère peut devenir vite synonyme de "bonne poire". A l'inverse, si un mauvais caractère rend plus difficile le travail en équipe et la communication avec autrui, c'est aussi une force puisqu'on laisse généralement tranquille celui qui a mauvais caractère sans trop lui chercher querelle. En fait, poser la problématique du caractère dans une logique binaire réductrice occulte le fait le plus important : le plus important, c'est d'avoir du caractère, d'avoir une personnalité...
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