VIE PROFESSIONNELLE : DOIT-ON ACCORDER LE DROIT A L'ERREUR ?
Voyons tout d'abord les différentes typologies d'erreurs :
On remarque les erreurs acceptables et celles qui le sont moins voire pas du tout.
L'erreur volontaire, par exemple, s'apparente a` du sabotage ou a` de la volonté de nuire.
Une erreur involontaire et/ou commise de bonne foi est souvent considérée comme une faute peu importante.
Pourtant, l'erreur involontaire peut recouvrer deux réalités bien différentes :
- erreur a` cause d'un manque d'informations temporaire ou contextuel.
- erreur a` cause de sa propre incompétence.
L'erreur involontaire pour incompétence n'est donc pas une "petite" erreur et n'est pas anodine pour l'entreprise et les autres collaborateurs.
Concernant les erreurs involontaires classiques (hors incompétence), il convient d'accorder un droit a` l'erreur sinon les salariés auront tendance a` cacher leurs erreurs, ce qui aggravera la situation ou ne leur permettra pas de trouver des solutions pour les corriger.
De plus, ne pas corriger ses erreurs condamne a` les répéter.
Instaurer le droit a` l'erreur en entreprise est donc plus bénéfique que le prohiber.
Commentaires
Enregistrer un commentaire