LES NOUVELLES TECHNIQUES DE COMMUNICATION MISES EN APPLICATION (PART 11)

Normalement, la communication consiste en un échange d'informations. Mais, parfois, cet échange d'informations tourne court car l'un des deux communicants utilise des informations que ne possède pas l'autre pour prendre l'avantage, avoir le dernier mot et clore la discussion.

La mode actuellement pour clore le bec a` quelqu'un est de lui asséner le pseudo-argument d'autorité définitif : "C'est scientifique, alors !"

Et si c'est un "expert" qui affirme que telle chose est "scientifique", il n'y a plus qu'a` s'incliner et a` se taire.

 

Sauf que, on l'a vu a` propos du Covid depuis 2 ans :

- les scientifiques ne savent pas tout.

- les scientifiques changent souvent d'avis.

- la science se trompe plus souvent qu'on ne le pense.

- certains soi-disant "experts" racontent n'importe quoi.

 

 

Utiliser la science et le langage scientifique pour communiquer avec des non-scientifiques, avec le public peut donc avoir plusieurs buts :

- informer le public.

- vouloir impressionner le public avec un langage et des termes compliqués.

- faire semblant de savoir en se cachant derrière un langage scientifique complexe.

- utiliser la science pour justifier des décisions politiques et sociales (alors que la science est théoriquement neutre).

 

Il est assez saisissant de constater que la rhétorique scientifique moderne utilise les mêmes ressorts que la religion : on ne peut pas contester la science car elle a toujours raison (comme la religion). Ce qui prouve, si besoin était, que la science n'est qu'une croyance parmi d'autres. Et non pas parole d'évangile !




A suivre...

 

 

 

 

 

 



 


 

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