COACHING, COMMUNICATION ET DEVELOPPEMENT PERSONNEL

On sait généralement ce que l'on a a` faire. Mais parfois, on croit s'en tirer a` bon compte en ne faisant pas, en ne faisant rien. Ainsi, en ne faisant pas, on ne risque pas de se tromper, on ne risque pas d'être critiqué, on ne risque pas grand-chose (du moins croit-on). En fait, si !    Car ne pas faire est autant une décision que faire. Et le choix de ce que l'on décide de ne pas faire est au moins aussi important que nos choix d'actions.                   A suivre...                  

Que ce soient des projets personnels ou professionnels, il n'est pas toujours évident de savoir quand renoncer et quand continuer, quand abandonner et quand persévérer.  Car il ne faut pas confondre un caillou sur le chemin avec un rocher en travers du chemin et une résistance normale avec un obstacle insurmontable.    Et comment faire la différence entre un échec temporaire et un échec définitif ?   Il n'y a pas de solution miracle car, parfois, le définitif prend les aspects du temporaire et, le futile, les aspects de l'essentiel. En fait, il faut savoir prendre un peu de recul sur ses projets, ses objectifs, ses envies et se poser la question des "résistances".      Lorsque vous avez fait tout ce qui était en votre possible et que rien ne fonctionne (ni hier ni aujourd'hui), vous pouvez envisager d'abandonner. Lorsque tout se ligue contre vous, lorsque les catastrophes s'accumulent au lieu des succès espérés, vous pouvez envisager d'abandonner.

Les relations humaines s'analysent de multiples façons mais se répartissent le plus souvent en 4 catégories : - les personnes que nous apprécions et qui nous apprécient. - les personnes que nous n'apprécions pas et qui ne nous apprécient pas non plus. - les personnes que nous apprécions et qui ne nous apprécient pas. - les personnes que nous n'apprécions pas et qui nous apprécient.   Les deux premières catégories sont faciles a` gérer puisque convergentes : nous recherchons la compagnie des personnes qui nous apprécient et que nous apprécions et nous évitons toute relation avec les personnes que nous n'apprécions pas et qui ne nous apprécient pas.   Mais les deux dernières catégories sont beaucoup plus gênantes, perturbantes et délicates a` gérer.    Que faire lorsque quelqu'un que l'on n'apprécie pas ne cesse de nous envoyer des marques d'estime ? Comment ne pas être déçu lorsqu'on constate qu'une personne que l'on apprécie beaucoup ne sembl

Il existe une philosophie du "comme si". Hans Vaihinger a marqué toute une tradition de la pensée contemporaine en reprenant la question kantienne de la philosophie du « comme si ». Il faut faire et il faut vivre "comme si".   La neurophysiologie a démontré que notre cerveau faisait souvent "comme si" : il ne fait pas la différence entre un effort réel et un effort imaginé. Et un effort imaginé fait aussi croître la masse musculaire (mais moins vite qu'un effort réel).   Et, bien entendu, cela donne un peu plus de consistance a` ce que l'on nomme la "visualisation" : puisque notre cerveau croit ce que l'on pense, pourquoi ne pas adopter un style de vie et un comportement "comme si" ?  Faire "comme si", par exemple, on vivait la vie d'une personne que l'on admire et qui devient ainsi notre modèle.           A suivre...                

Nous avons donné deux techniques dans l'article précédent pour calmer un peu les ardeurs de celles et ceux qui usent et abusent du franglais (sans que cela ne soit vraiment indispensable). En voici une troisième : non seulement de nombreux anglicismes sont approximatifs voire inexacts mais des mots anglais utilisés couramment dans les conversations ne correspondent pas du tout a` leur traduction correcte ni aux mots que les anglais emploient pour désigner ce dont on parle.    Donnons quelques exemples qui permettront de remettre a` leur juste place celles et ceux qui passent leurs journées a` se gargariser avec des anglicismes :               Enfin, a` trop vouloir utiliser les anglicismes, a` trop vouloir parler anglais en France, on risque de passer pour un Anglais.  Ce qui induit que, dans ce cas, on doit se faire un devoir d'apprécier la gastronomie et les spécialités anglaises... FIN.

Parler couramment anglais, c'est bien. Parler couramment franglais, c'est plus discutable.   L'usage du franglais se répand pour plusieurs raisons : - par snobisme. - par facilité. - par l'américanisation croissante de la vie en entreprise. - pour faire croire que l'on parle anglais (alors qu'en fait, non).        Si cela peut s'avérer simplement amusant dans la vie quotidienne, cela peut devenir nettement plus problématique voire pénible en entreprise.        On voit ainsi fleurir des annonces de recrutement remplies d'anglicismes plus ou moins compréhensibles (et exacts). De nombreuses fonctions en entreprise sont rebaptisées avec un nom anglais (CEO pour directeur ou PDG, par exemple), ce qui tend a` vouloir épater la galerie ou impressionner les néophytes mais ce qui ne change rien du tout en réalité. Dans la communication et les échanges professionnels, de plus en plus d'anglicismes sont employés. Non seulement cela frise souvent le ridicule mai