PENSÉES POUR VIVRE HEUREUX EN ATTENDANT LA RETRAITE (et la réforme des retraites) PART 111

Ce que l'on a a` faire dans l'existence dépend de ce que l'on est : un hyperactif n'aura sans doute pas les mêmes projets ni les mêmes ambitions qu'un contemplatif.

Si pour un hyperactif les notions de changement et d'innovation ne heurtent en aucune façon ses convictions, pour quelqu'un de moins actif et de moins entreprenant, cela peut sembler insurmontable.

 


 

Tout n'est pas perdu pour autant ! Car il existe des solutions pour les personnes plus passives, plus contemplatives, plus "fatalistes" :

1) si l'on ne sait pas provoquer de nouvelles occasions, on peut au moins saisir celles qui se présentent. Car il s'en présente toujours.

2) il a été démontré (expériences de psychologie, stratégie militaire) qu'en situation d'incertitude, lorsqu'on ne sait pas quoi faire, lorsqu'on n'a aucune idée de ce qu'est la meilleure solution du moment, faire un pas en avant au hasard donnait souvent de meilleurs résultats que d'essayer de trouver une solution "raisonnable" (qui, en l'état, n'existe pas). 

Parfois, faire n'importe quoi (solution aléatoire) n'est pas pire que de forcer le destin avec des solutions apparemment rationnelles mais finalement totalement inefficaces.



 


 




  

 


 


 


 



 

A suivre...

 

 

 

 

 

 



 


 

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