PENSÉES POUR VIVRE HEUREUX MALGRÉ LA RÉFORME DES RETRAITES (nouvelle série - PART 8)
Car, aussi étrange que cela puisse paraître, on ne peut pas les séparer.
Pourtant, il semble qu'il est plus facile d'accepter des compliments que des reproches.
Sauf qu'il a été démontré par des expériences psychologiques que celles et ceux qui ne supportaient pas les reproches avaient aussi du mal a` accepter les compliments.
Autant pour les reproches ils se défendaient farouchement ("ce n'est pas moi !", "comment osez-vous me parler sur ce ton ?", "comment osez-vous me dire ça ?"), autant pour les compliments ils minimisaient l'impact de ceux-ci ("oh, ce n'est rien, vous savez", "je n'ai pas vraiment fait exprès", "je n'ai aucun mérite, c'était facile").
Quel est alors le dénominateur commun qui expliquerait que l'on accepte a` la fois reproches et compliments ou que l'on ait du mal a` accepter a` la fois reproches et compliments ?
Ce dénominateur, c'est l'image de soi (liée a` l'estime de soi) : si l'on sait qui l'on est vraiment, si l'on s'estime a` sa juste valeur, on sait reconnaître ses défauts tout comme on apprécie d'être complimenté sur ses qualités et ses talents.
A suivre...
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