PENSÉES POUR VIVRE HEUREUX MALGRÉ LA RÉFORME DES RETRAITES (nouvelle série - PART 23)


Avez-vous déjà remarqué à quel point nous aimons classer les gens dans des cases, les étiqueter, les évaluer et les calibrer comme on calibre des fruits ?

Comme si nous avions un besoin compulsif de ranger tout le monde dans des petites boîtes.
 

Mais pourquoi faisons-nous cela ?

Pour rapidement catégoriser les personnes qui nous entourent, pour réduire l’incertitude et la complexité, pour tenter de décoder les comportements, pour tenter de mieux cerner les attentes et les besoins d'autrui, pour nous faciliter la compréhension d'un monde complexe..

Mais aussi pour nous rassurer car ce qui est étiqueté est connu, classé, répertorié, rangé. On ne peut plus se faire surprendre par ce qui est étiqueté.

 

 

Sauf que vouloir a` tout prix réduire la complexité et l'incertitude du monde qui nous entoure a ses limites et ses inconvénients : mettre les gens dans des cases peut conduire à des stéréotypes, des généralisations excessives et à une vision simpliste des individus et des relations sociales. 

Etiqueter, c'est aussi une certaine façon de nier la diversité, la complexité.

Et, en voulant rendre tout simple, on court plus le risque de devenir simpliste que d'avoir correctement simplifié.



A suivre...

 

 

 

 

 

 



 



 

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