DEVENIR UN LEADER : LES REGLES (PART 7)

On parle beaucoup en ce moment de l'inclusivité. L'inclusivité, c'est inclure tout le monde : les personnes différentes, toutes les personnes concernées par une problématique ou un projet (entreprise, nation), les personnes exclues a priori idéologiquement mais sans raisons rationnelles valables, etc...

Et il est en effet grand temps d'inclure. Et d'arrêter d'exclure. Car les exclus ont fini par devenir si nombreux dans nos sociétés dites "modernes" qu'ils en sont devenus majoritaires.




Comme exemple d'exclus majoritaires, nous avons les abstentionnistes. Ils sont devenus tellement nombreux (voir dernières élections) qu'ils sont devenus le premier "parti" de France. A trop vouloir continuer de les ignorer, les politiciens se préparent des lendemains qui risquent de déchanter.

Parmi les autres exclus lors des scrutins, les citoyens qui votent "blanc". Ils se sont déplacés pour aller voter mais on méprise leur vote en n'y accordant aucune importance.

Si l'on ajoute les abstentionnistes et les votes "blancs", on mesure la quantité d'exclus (qui sont pourtant des citoyens à part entière) que nos soi-disantes démocraties ont engendré.





 Dans de nombreux domaines, des efforts d'intégration ont été faits. Mais intégration n'est pas inclusion.

Et le nombre de personnes victimes d'exclusion et/ou de ségrégation dans nos sociétés est si important qu'il est difficile voire impossible de pouvoir parler de "projets communs", "d'unité de la nation" ou "d'adhésion a` des valeurs communes". Mais la faute a` qui ? 

 

 


 Il va de soi qu'un bon leader est un leader inclusif. Et qu'un leader "exclusif" n'est pas un bon leader.

 

 

A suivre...

 

 

 

 

 

 

 

 



 


 

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