COACHING, COMMUNICATION ET DEVELOPPEMENT PERSONNEL

Dans l'action, il y a plusieurs catégories : - les innovateurs, les précurseurs, les pionniers. - les suiveurs. - les routiniers. Mais il y a aussi les challengers et les non-conformistes.   Il n'existe pas de bonnes ou de mauvaises catégories (a` part les routiniers). Chacun exprime ce qu'il est et ce qu'il peut être dans sa forme d'action.            A suivre...                    

"Dis-moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es !" L'adage est connu et souvent pertinent. Savoir choisir ses relations est primordial. Mais les choisir uniquement sur des critères d'utilité (professionnelle, sociale) est insuffisant et réducteur.   Il existe en effet de nombreux critères permettant de choisir ses relations : - valorisantes ou pas. - utiles ou pas. - risquées ou pas. - accessoires ou essentielles.  - durables ou pas.  - nombreuses ou pas.            A suivre...                  

Si la tyrannie des apparences augmente les inégalités socio-professionnelles, on peut utiliser ces apparences dans une "société du paraître". Car, malgré ce qui est dit, l'être est peu considéré en comparaison du paraître dans nos sociétés dites "modernes." Que vaut une personne avec de grandes qualités humaines comparée avec un manager super riche ? Que vaut un chômeur âgé (pourtant diplômé) de longue durée comparé a` un jeune homme sans diplômes qui fait le beau sur les plateaux de télévision et qui bénéficie ainsi d'une notoriété médiatique ? Paraître, paraître et encore paraître, telle est la loi !           Mais si le paraître prévaut sur l'être, pourquoi ne pas l'utiliser a` son profit ? Pourquoi ne pas jouer a` fond sur sa beauté, sa jeunesse, ses relations pour obtenir amour, travail et argent ?        Nul doute que de nombreuses personnes ayant pressenti ou vérifié que les apparences et le paraître jouaient un rôle essentiel et prépo...

"Ne vous fiez pas aux apparences" dit le dicton. Et un autre dit : "L'habit ne fait pas le moine." Sauf que dans nos sociétés occidentales néo-libérales, c'est exactement le contraire qui se passe : l'apparence joue un rôle prépondérant. Le superficiel l'emporte sur la profondeur, sur le consistant. Il vaut mieux être jeune, beau, svelte, riche et bien habillé que vieux, laid, pauvre, obèse et mal habillé. Cela encore, tout le monde le sait ou le pressent. Mais ce qu'on ne pressent pas, c'est jusqu'ou` va le poids des apparences : ces apparences sont bien utiles pour trouver un emploi, pour faire une belle carrière, pour trouver le ou la partenaire idéal(e) et jouent un rôle prépondérant méconnu.             Nos sociétés s'en défendent au nom d'une pseudo-égalité théorique mais pratiquent une ségrégation constante sur les apparences. Dans de nombreux domaines. Que l'on songe aux difficultés que rencontrent les obèses ou les pe...

Tout le monde sait qu'il est nettement préférable d'avoir une bonne réputation qu'une mauvaise. Mais les implications d'une bonne ou d'une mauvaise réputation vont bien au-dela` de ce que l'on pense habituellement. Une bonne réputation est une assurance tous risques. Une mauvaise réputation est un boulet dont on ne peut jamais se défaire. Avant de prendre des exemples concrets, voici ce que les expériences psycho-sociologiques ont démontré sur la réputation.     Lorsqu'une personne avec une bonne réputation fait quelque chose de positif, on pense que c'est normal et logique. C'est ce que l'on attend d'elle. Lorsqu'une personne avec une bonne réputation fait quelque chose de négatif, on n'y croit pas, on se dit que ce n'est pas possible. On va minimiser. On va lui trouver des excuses. Lorsqu'une personne avec une mauvaise réputation fait quelque chose de négatif, on n'est pas surpris. C'est ce que l'on attend ...